Il m’a fallu 2 soirées pour regarder toute la saison 1 de « The End of the F****** World ». En même temps, les 8 épisodes ne durent que 20 minutes chacun. Mais quand même ! Voici pourquoi la série a marqué mes esprits.
« I’m James. I’m 17. And I’m pretty sure I’m a psychopath », voilà comment débute le premier épisode. Le territoire est directement marqué. Vous voyez, avec cette série, l’histoire accroche dès le départ. Pas besoin de regarder 2 saisons avant de la trouver cool (pas comme Game Of Trones).
De quoi ça parle ? La série vous raconte les aventures de deux ados de 17 ans qui décident, ensemble, de fuir leur vie actuelle. Petit problème : James est un psychopathe et a très envie de tuer sa copine. La pauvre fille ne se doute de rien.
Leur relation évolue et, ce qui est étonnant, c’est que cette production Netflix arrive à nous faire apprécier des jeunes ados délinquants. Des gosses que l’on aurait totalement détestés en temps normal. La fillette casse tout ce qu’elle touche, est irrespectueuse et nymphomane sur les bords. Le garçon est handicapé social et a envie de tuer tout ce qui bouge.
En plus, la façon dont le film est monté est super originale. On entend les deux personnages principaux penser en voix off. Ce qui rajoute une touche d’humour à toute la série.
Dans tous les cas, j’ai été conquise. J’espère que vous kifferez autant que moi !
Rebecca Dreisziger